Quelques graffitis faits par Quentin Reynard-Feytis
&
Pour savoir plus, à lire dans le bulletin municipal 2015,
un article sur ce jeune artiste cormainvillois:
Quentin Reynard-Feytis exposera 2 de ses "graffitis" lors de notre exposition, les 25 & 26 juin prochain:
La presse en parle:
L'Écho du Perche
Quentin débute dans le « Street art »
Quentin dit « Madauk », pose devant le mur de clôture totalement coloré par ses graffs. - LEJEUNE André
Lors de l'exposition de « Beauce Arts Textiles » et du
comité des fêtes, Quentin a œuvré sur la scène de la salle des fêtes
pour créer un « graff » de quelques mètres carrés, le tout à la bombe,
sans dessin au préalable. Lundi, chez lui, dans la maison de famille
acquise il y a une dizaine d'années, il a expliqué comment il s'est
initié au street art.
Au cours de sa scolarité, il a découvert, il y deux
ans, un graffeur faisant un dessin plein de couleurs. Il s'est renseigné
et a acquis le matériel nécessaire pour essayer. Le mur de clôture de
Cormainville a été le support des essais. Depuis, il continue à son
rythme, juste freiné par les études cette année.
Il s'est rendu plusieurs fois à Paris, dans le 18 e
arrondissement, rue du Noyer, artère ouverte aux artistes de « Street
Art » : graffeurs, sculpteurs, peintres et autres artistes. Il y a
laissé les traces de son passage avec une demi-douzaine de graffs.
« Depuis, je ne sais pas si je pourrais les retrouver, ils sont certainement recouverts. C'est ce que j'ai fait, il n'y a plus un cm ² de ciment visible. J'ai fait aussi d'autres œuvres chez des amis. »
Les études d'abord,
le graff ensuite Ces quelques dessins à Paris lui ont offert de belles rencontres avec des pros du graff qui exercent tous les jours. Certains réussissent même à en vivre. « Si leurs méthodes de travail sont différentes entre eux et par rapport à moi, nous avons tous en commun le matériel, la peinture en bombe notamment ». Hormis sa signature « Madauk », Quentin refuse de donner ses coordonnées. « Je fais ça pour le plaisir et pour décompresser. En aucun cas, je ne veux délaisser mes études. Mon avenir d'abord, les graffs ensuite ».
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« Depuis, je ne sais pas si je pourrais les retrouver, ils sont certainement recouverts. C'est ce que j'ai fait, il n'y a plus un cm ² de ciment visible. J'ai fait aussi d'autres œuvres chez des amis. »
Les études d'abord,
le graff ensuite Ces quelques dessins à Paris lui ont offert de belles rencontres avec des pros du graff qui exercent tous les jours. Certains réussissent même à en vivre. « Si leurs méthodes de travail sont différentes entre eux et par rapport à moi, nous avons tous en commun le matériel, la peinture en bombe notamment ». Hormis sa signature « Madauk », Quentin refuse de donner ses coordonnées. « Je fais ça pour le plaisir et pour décompresser. En aucun cas, je ne veux délaisser mes études. Mon avenir d'abord, les graffs ensuite ».
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