mon dernier livre publié par les éditions de Saxe en novembre 2016:

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samedi 18 juin 2016

Quentin Reynard-Feytis, graffeur cormainvillois

Quelques graffitis faits par  Quentin Reynard-Feytis

&
Pour savoir plus,  à lire dans le bulletin municipal 2015,  
un article sur ce jeune artiste cormainvillois:
 Quentin Reynard-Feytis exposera 2 de ses "graffitis" 
lors de notre exposition, les 25 & 26 juin prochain:
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La presse en parle:

L'Écho du Perche

Loiret > Pithiverais-Beauce > Cormainville 27/07/16 - 06h00

Quentin débute dans le « Street art »

Quentin dit « Madauk », pose devant le mur de clôture totalement coloré par ses graffs. - LEJEUNE André
SOURCE : http://www.larep.fr/loiret/actualite/pays/pithiverais-beauce/2016/07/27/quentin-debute-dans-le-street-art_12015992-7477.html
Lors de l'exposition de « Beauce Arts Textiles » et du comité des fêtes, Quentin a œuvré sur la scène de la salle des fêtes pour créer un « graff » de quelques mètres carrés, le tout à la bombe, sans dessin au préalable. Lundi, chez lui, dans la maison de famille acquise il y a une dizaine d'années, il a expliqué comment il s'est initié au street art.
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Au cours de sa scolarité, il a découvert, il y deux ans, un graffeur faisant un dessin plein de couleurs. Il s'est renseigné et a acquis le matériel nécessaire pour essayer. Le mur de clôture de Cormainville a été le support des essais. Depuis, il continue à son rythme, juste freiné par les études cette année.
Il s'est rendu plusieurs fois à Paris, dans le 18 e arrondissement, rue du Noyer, artère ouverte aux artistes de « Street Art » : graffeurs, sculpteurs, peintres et autres artistes. Il y a laissé les traces de son passage avec une demi-douzaine de graffs.
« Depuis, je ne sais pas si je pourrais les retrouver, ils sont certainement recouverts. C'est ce que j'ai fait, il n'y a plus un cm ² de ciment visible. J'ai fait aussi d'autres œuvres chez des amis. »
Les études d'abord,
le graff ensuite
Ces quelques dessins à Paris lui ont offert de belles rencontres avec des pros du graff qui exercent tous les jours. Certains réussissent même à en vivre. « Si leurs méthodes de travail sont différentes entre eux et par rapport à moi, nous avons tous en commun le matériel, la peinture en bombe notamment ». Hormis sa signature « Madauk », Quentin refuse de donner ses coordonnées. « Je fais ça pour le plaisir et pour décompresser. En aucun cas, je ne veux délaisser mes études. Mon avenir d'abord, les graffs ensuite ».

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